Mes services dédiés aux petits et grands patients

Psychothérapie parents-enfant (2-6 ans)

  • Les interventions parents-enfant, en modalité dyadique (1 parent avec l’enfant) ou triadique (2 parents avec l’enfant), permettent de travailler diverses sortes de difficultés chez l’enfant d’âge préscolaire (p.ex. anxiété, dépression, agressivité, inhibition, agitation, opposition, difficultés de sommeil/alimentation, faibles capacités de régulation comportementale/émotionnelle, etc.). Ce type d’intervention, généralement intensive/court terme, est composé d’un bloc de 6-8 rencontres, renouvelable au besoin. À travers le jeu mené par l’enfant, prenant part durant la première partie de chacune des séances, les parents et le psychologue ont accès à ce qui habite l’enfant (p.ex. ses craintes, ses désirs, sa représentation du monde et lui-même). La période subséquente de discussion guidée par le psychologue permet aux parents de développer une meilleure capacité à décoder les états mentaux (c.-à-d. pensées, désirs, besoins, intentions) de leur enfant, qui se cachent sous ses comportements. Grâce à ses réflexions, les parents arrivent progressivement à mieux comprendre les besoins de leur enfant et ils deviennent de plus en plus en mesure d’y répondre de manière adaptée et sensible. Ce type d’intervention, centré sur le lien d'attachement parent-enfant, est reconnu scientifiquement pour améliorer la sensibilité parentale et les habiletés réflexives des parents (Philipp & Hayos, 2013), qui seront bénéfiques à toutes les autres étapes de la vie de leur enfant (c.-à-d. âge scolaire, adolescence, vie adulte). Favoriser un meilleur lien d’attachement de l’enfant envers ses parents est gagnant pour tous, car l’attachement est reconnu comme une variable importante dans le développement global de l’enfant (p.ex. affectif, cognitif, langagier, relationnel). Enfin, de travailler avec une partie ou l’ensemble du système familial, et pas seulement avec l’enfant, permet d’éviter que l’enfant se sente au centre du problème (fardeau, enfant-problème, mauvais enfant) ou qu’il présente de la résistance, par exemple dans le cadre d’un traitement individuel axé sur ses symptômes.

  • Rencontre initiale (90 min.) 200$

    Rencontre de suivi dyadique (2 pers.) ou triadique (3 pers.) (45 min.) 160$

    Le tarif inclut l’utilisation du matériel de jeu nécessaire à l’intervention.

Psychothérapie par le jeu pour enfants (4-8 ans)

  • La psychothérapie par le jeu utilise le jeu comme moyen thérapeutique pour travailler les objectifs visés auprès des jeunes enfants, chez qui le langage et les capacités de représentation, nécessaires à la thérapie traditionnelle par la parole, ne sont pas assez développés. En revanche, le jeu détient une fonction essentielle dans le développement global durant la petite enfance ! Bien que les enfants jouent généralement par plaisir, le jeu permet également d’exprimer leurs angoisses et leurs conflits internes pour tenter de les maîtriser; de développer leurs habiletés créatives et imaginatives nécessaires à la résolution de problème et au raisonnement ; de développer leur personnalité en expérimentant et en intégrant des parties du monde interne et externe; d’établir la base des contacts interpersonnels et d’apprendre à communiquer avec l’autre; et afin de libérer leur agressivité d’une manière socialement acceptable, permettant de développer de meilleures habiletés d’autocontrôle dans le réel (Winnicott, 1975). Selon les caractéristiques de l’enfant et la nature de sa problématique, cette modalité thérapeutique peut se centrer autant sur le contenu du jeu que sur le processus du jeu en soi, si la capacité à jouer de l’enfant a été entravée/bloquée, par exemple en situation de traumatisme (Terradas & Achim, 2012). Le psychologue accompagne l’enfant dans son jeu pour l’aider à élaborer sur ses difficultés de façon ludique, donc beaucoup moins menaçante, et à trouver des exutoires et des solutions. Ce type de psychothérapie, qui adresse les symptômes de l’enfant indirectement, demande cependant beaucoup d’assiduité et de patience. Malgré la tenue de rencontres bilan récurrentes avec les parents, ils doivent faire preuve d’une grande tolérance à laisser l’espace à leur enfant et à ne pas se centrer sur les trucs ou les sujets précis à discuter.

  • Rencontre initiale (90 min.) 200$

    Rencontre de suivi (45 min.) 150$

    Le tarif inclut l’utilisation du matériel de jeu nécessaire à l’intervention.

Psychothérapie individuelle pour enfants d’âge scolaire (7-12 ans)

  • Les interventions psychothérapeutiques offertes aux enfants d’âge scolaire utilisent généralement comme moyen principal la parole, avec l’apport d’autres médiums comme l’art (p.ex. dessin, peinture, musique, etc.). En effet, l’enfant se représente graduellement mieux sa propre expérience subjective et se montre plus en mesure de la communiquer oralement. La modalité individuelle permet à l’enfant de se différencier de ses parents, étape saine et normale du processus de séparation-individuation propre à la première enfance, et de créer un lien de confiance avec un autre adulte à l'écoute. Les rencontres individuelles avec l’enfant, axées sur le développement de ses capacités de mentalisation et de ses habiletés d’autorégulation émotionnelle et comportementale, lui permettront d’élaborer sur ses difficultés pour développer d’autres moyens d’exprimer ses besoins non comblés que par la formation de symptômes divers (p.ex. anxiété de séparation, de performance ou sociale, inquiétudes envahissantes et excessives, colère et irritabilité persistantes, retrait ou déprime, opposition, etc.). Des rencontres parentales ponctuelles sont utilisées pour transmettre la compréhension dégagée du travail avec l’enfant afin d’établir ensemble des moyens pour soutenir l’enfant dans l’expression saine de ses besoins et de lui offrir un cadre qui y répond.

    Bien que certains enfants de cet âge soient ouverts et motivés à investir un espace à eux, d’autres sont peu réceptifs à adresser directement leurs difficultés, cherchant à les nier ou les éviter de multiples façons, car cela est trop confrontant pour leur estime à ce moment de leur parcours. C’est lors des tous premiers entretiens pour évaluer la situation et les pré-requis à l’intervention que les différentes avenues thérapeutiques envisagées sont discutées (p.ex. un essai thérapeutique, des séances avec les parents seulement) pour aider l’enfant souffrant mais résistant.

  • Rencontre initiale (90 min.) 200$

    Rencontre de suivi (45 min.) 150$

Psychothérapie individuelle pour adolescents et jeunes adultes (12-25 ans)

  • Les interventions psychothérapeutiques s’adressant aux adolescents sont généralement basées sur la parole, car leur développement cognitif et langagier est assez développé. Cela dit, l’art peut être utilisé comme mode d’expression du vécu du jeune, qui parle de sa réalité intérieure dans ses dessins, ses chansons, ses séries ou ses jeux vidéos, ce qui les rend bien pertinents. La psychothérapie à cet âge est riche, car l’adolescent se retrouve devant un défi de taille: celui de passer de l’enfance à l’âge adulte, dans un monde où les apparences et la performance sont importantes (et qui laisse peu de place à l’erreur)! Ce processus le laisse aux prises avec des bouleversements multiples (c.-à-d. aux plans corporel, affectif, social, familial, identitaire, cognitif, comportemental), suscitant des affects intenses et instables, des façons de pensée différentes et radicales, un mouvement de distanciation de la famille au profit des relations amicales, une image corporelle et une estime de soi fluctuantes, une recherche et une exploration identitaire parfois décousue… La lourde tâche développementale de s’autonomiser/se différencier de sa famille, tout en ressentant ces bouleversements, peut engendrer de la souffrance chez l’adolescent, qui l’exprime de diverses façons (p.ex. difficultés scolaires, repli sur soi et isolement social, relations interpersonnelles conflictuelles, grande instabilité et intensité émotionnelle, comportements agressifs et à risque, crise identitaire, etc.).

    La psychothérapie basée sur la mentalisation permet de mettre plus au clair les besoins, pensées, intentions, désirs et croyances de l’adolescent, pour les relier à ses émotions et ses comportements dans un premier temps, et pour ensuite les mettre en relation avec ceux des autres. Le but est de gagner une perspective plus complète chez le jeune et de rendre ses interprétations plus flexibles, tout comme ses comportements et ses façons d’entrer en relation. Or, les défis de l’adolescence se prolongent généralement au début de l’âge adulte, phase importante de consolidation de la personnalité et de l’identité.

    La confidentialité dans la psychothérapie des adolescents (14 ans et +) est un point important pour le jeune, qui peut difficilement se dévoiler avec authenticité s’il craint des représailles. Les rencontres avec les parents sont parfois nécessaires et essentielles, mais elles prennent généralement moins de place que pour les plus petits, afin de respecter et soutenir ce besoin d’autonomisation. Toutefois, certaines limites à la confidentialité sont bien définies d’entrée de jeu (p.ex. en cas de danger imminent pour soi ou autrui), autant auprès du jeune que des parents, pour maintenir un cadre sécuritaire et sécurisant propre à la psychothérapie.

    Par ailleurs, l’adolescent sera davantage en mesure de profiter de sa psychothérapie s’il est en contact avec sa souffrance; capable d’établir une relation de confiance; intéressé par son monde interne; et minimalement capable de réfléchir aux sources de ses difficultés (Braconnier & Barbe, 2006). Chez les adolescents qui sont surtout dans l’agir (les comportements extériorisés) et qui sont fermés à explorer leur vécu, la psychothérapie peut être possible, mais elle demandera plus de temps et d’efforts (Terradas & Domon-Archambault, 2020).

  • Rencontre initiale (90 min.) 200$

    Rencontre de suivi (45 min.) 150$

Psychothérapie individuelle pour (futures, nouvelles, déjà) mamans

  • L'entrée dans la maternité apporte son lot de changements et de bouleversements, tant positifs que négatifs, et ce, sur TOUS les plans du développement de la femme (p.ex. corporel, hormonal, affectif, relationnel, cognitif, etc.). Le concept de «matrescence», qui vient de la contraction des mots «adolescence» et «maternité» (ou naissance d'une mère), évoque bien l'intensité de la transformation en profondeur qui se crée... parfois dans un chaos plus ou moins grand, qui demande à se redécouvrir et à se comprendre autrement! Le suivi auprès de la nouvelle maman, ou celle qui accueille un autre enfant (parce que oui, la matrescence revient en force au 2e, 3e, 4e...!), permet d'explorer plusieurs thèmes de la maternité sans tabous, dont l'anxiété, la surprotection et la culpabilité parentale; le «mom rage» et l'établissement de nos limites; la dépression post-partum, le «baby blues» et l'épuisement parental; les mouvements et renoncements liés à la parentalité (c.-à-d. ambivalence ou regret maternel); le développement du lien affectif (attachement) avec son enfant à la lumière de ses propres expériences d'attachement; les enjeux liés à la coparentalité et à la conciliation travail-famille; et j'en passe! Je vous l'ai dit... y'a de quoi explorer pendant des heures ce qui se passe à l'intérieur de vous. Le psychologue peut vous apporter une écoute et un soutien bienveillant, couplés à des informations scientifiques et cliniques qui aident à mieux comprendre ces manifestations (oui, malgré le «mom brain»!).

  • Rencontre initiale (90 min.) 200$

    Rencontre de suivi (45 min.) 150$

Exemples de problématiques traitées:

  • Difficultés de régulation émotionnelle (p.ex. colère intense, hypersensibilité, hyperréactivité)

  • Difficultés d'estime de soi (p.ex. sentiment de compétence faible, autodépréciation/dénigrement) 

  • Difficultés d'adaptation à un événement de vie difficile (p.ex. agression à caractère physique/sexuel, négligence/maltraitance, intimidation, violence psychologique, etc.)

  • Symptômes ou troubles associés à un traumatisme ou du stress (p.ex. état de stress post-traumatique, trouble de l'adaptation, trauma complexe)

  • Fragilités/insécurité dans le lien d'attachement parent-enfant (p.ex. attachement insécurisé-évitant, insécurisé-ambivalent)

  • Questionnements identitaires (p.ex. identité/dysphorie de genre, orientation sexuelle)

  • Traits de personnalité (p.ex. évitante, limite, histrionique, narcissique, dépendante, obsessionnelle-compulsive, etc.) avec un niveau de fonctionnement non décompensé *(voir section suivante)

  • Symptômes ou troubles anxieux (p.ex. anxiété de séparation, anxiété généralisée, phobie simple/spécifique, agoraphobie, crises de panique, phobie sociale, anxiété de performance), ou trouble de l’adaptation avec humeur anxieuse

  • Symptômes ou troubles dépressifs (p.ex. trouble dépressif majeur), deuil ou trouble de l’adaptation avec humeur dépressive

  • Difficultés comportementales (p.ex. impulsivité, agressivité, opposition, provocation)

  • Symptômes ou troubles obsessionnels-compulsifs (p.ex. rituels contre des pensées envahissantes)

Je vous réfère alors au CISSS des Laurentides (Ressources ici.). Vous pouvez faire une demande de services en santé mentale via :

  • votre médecin de famille (vous n’en avez pas? Inscrivez-vous au guichet d'accès),

  • l’INFO-SOCIAL (811, option 2),

  • le guichet d’accès en santé mentale jeunesse du CLSC de votre secteur.

En cas de problématiques entourant le suicide, il existe des ressources spécialisées (Infos ici).

En cas de problématique liée à la dépendance, diverses ressources existent dans les Laurentides, telles que Centre André Boudreau et Portage.

Pour les problématiques touchant la psychose, il existe un Programme pour premiers épisodes psychotiques (PIPEP).

Si vous êtes inquiets pour la sécurité et/ou le développement d’un mineur (p.ex. victime de négligence, maltraitance, abus), un signalement au DPJ est nécessaire pour évaluer la situation de l’enfant/adolescent et appliquer les mesures pour rétablir la situation, le cas échéant.

* Si votre enfant/adolescent présente des :

  • Idéations suicidaires actives/comportements suicidaires (p.ex. tentatives suicidaires récentes, consultations à l’urgence)

  • Trouble liés à la dépendance (p.ex. alcool, drogues, jeu vidéo)

  • Troubles somatoformes (p.ex. trouble de conversion, trouble factices)

  • Troubles psychotiques (p.ex. épisode psychotique, schizophrénie)

  • Trouble de personnalité décompensé (c.-à-d. qui empêche de fonctionner dans les milieux de vie familial et/ou scolaire, nécessitant parfois des hospitalisations ou des placements)

  • Troubles neurodéveloppementaux (p.ex. trouble du spectre de l’autisme/TSA, Syndrome Gilles de la Tourette/SGT, TDAH comme diagnostic principal)

    * Je ne suis malheureusement pas la bonne personne pour vous aider, car ces problématiques nécessitent soit :

    • une prise en charge multidisciplinaire (p.ex. équipe de pédopsychiatrie),

    • des disponibilités accrues,

    • une expertise spécifique,

      … que je ne peux pas vous offrir dans le contexte d’un bureau privé.

Exemples de problématiques non prises en charge :

Processus typique de consultation psychologique

ÉTAPE 1: Évaluation du motif de consultation

La première rencontre, qui se fait généralement en présence des parents seulement, permet de décrire en détail la problématique présentée par l’enfant ou l’adolescent: Quelles sont les difficultés observées? Depuis quand sont-elles présentes? Dans quel contexte se manifestent-elles? Quelles sont leurs conséquences? Comment les parents s’expliquent les difficultés actuelles (leurs propres hypothèses)? Quelles sont les conclusions des autres consultations, le cas échéant?

La rencontre initiale permet également de faire un retour sur l’histoire de développement du jeune (c.-à-d. de la préconception à l’âge actuel), pour mieux comprendre les facteurs qui ont pu contribuer à la présentation clinique actuelle. Le but n’est en AUCUN cas de culpabiliser qui que ce soit, mais plutôt de bien saisir les expériences significatives de l’enfant, tant avec sa famille que dans les autres milieux de vie (p.ex. garderie, école). Cette analyse aide à se faire une tête sur la source multifactorielle potentielle des difficultés et identifier quel chemin prendre pour les adresser.

Quelques rencontres supplémentaires (2-3) avec l’enfant/adolescent seul, ainsi qu’en présence de ses parents au besoin, sont nécessaires pour bien évaluer le motif de consultation en vue du bilan/plan de traitement.

ÉTAPE 2: Rencontre bilan et plan de traitement

Suite à quelques rencontres d’évaluation de la problématique, les parents et le jeune sont invités à discuter de la compréhension commune des difficultés avec la psychologue. L’idée est que tous co-construisent ensemble une explication cohérente et rassembleuse des défis présentés, pour dégager un sens partagé et orienter les solutions. De fait, la psychologue présente ensuite les différentes avenues de traitement pour atteindre les objectifs thérapeutiques visés par le jeune et ses parents.

Les parents, l’enfant/adolescent et la psychologue conviennent d’un plan d’intervention (objectifs, moyens utilisés, fréquence, modalité - individuelle, parent-enfant, par la parole/jeu, échéancier) et ils s’entendent sur le cadre des services (p.ex. modalités d’annulations/absences, tarifs, moyens de communication, etc.) pour favoriser le processus thérapeutique et s’assurer du consentement libre (sans contrainte) et éclairé (avec toutes les informations nécessaires) du jeune et de ses parents. C’est l’occasion de poser des questions sur les méthodes de travail, les attentes, les résultats attendus, les doutes, les avantages/inconvénients, etc.!

Pour avoir les meilleurs résultats, l’engagement (au début et en cours de thérapie), le lien de confiance et la collaboration de tous sont des facteurs essentiels!

ÉTAPE 3: Rencontres de suivi et bilans ponctuels

Une fois le plan bien établi et accepté par tous, les rencontres de suivi ont lieu à la fréquence déterminée en cohérence avec les besoins identifiés et en respect des possibilités d’investissement (en temps, en argent, en énergie, etc.) de la famille. De manière générale, les rencontres qui viennent sur une base hebdomadaire (c.-à-d. à chaque semaine) ou bimensuelle (aux 2 semaines), le même jour, à la même heure, permettent d’optimiser les gains de la psychothérapie, en créant l’habitude de s’arrêter pour réfléchir et mieux intégrer le contenu des rencontres. Les rencontres visent à travailler les objectifs retenus en élaborant sur ceux-ci, soit dans le jeu pour les plus jeunes, soit par la parole pour les plus vieux, pour trouver des manières alternatives d’y faire face.

Des bilans ponctuels ont généralement lieu aux 4-8 rencontres, selon le cadre établi, où les parents sont invités à se joindre à la réflexion pour apporter leurs observations, leurs idées et leurs préoccupations. Le contenu général des rencontres de psychothérapie (c.-à-d. thèmes abordés, interventions réalisées, évolution observée, etc.) est discuté avec les parents. Enfin, le bilan est le moment de revoir les objectifs thérapeutiques pour évaluer les changements observés en ce sens et réviser le but et/ou les moyens psychothérapeutiques, au besoin. Pour se faire, les conclusions et recommandations de la psychologue sont partagées.